Qui est Zineb El Rhazoui, qui s’en prend à Idriss Sihamedi, le fondateur de BarakaCity ?Sur Twitter, le responsable de cette association humanitaire islamique basée à Evry-Courcouronnes est violemment attaqué par l'activiste ...
Ces femmes qui agissent contre la cause des femmes : De Polanski à RamadanTribune : Noémie Musset - Ark #tribune #TariqRamadan #Polansky #Metoo Je suis une militante féministe et depuis plus de vingt ans je me s...
2019 : Professeur Tariq Ramadan et la situation globale"Une recherche sur Google en anglais nous renvoie à environ 500 000 plus de résultats qu’en français. Mais c’est la différence de con...
Éducation.En Inde, les fantômes font leur entrée à la fac de médecineEn janvier, l’université de Bénarès proposera à ses étudiants en médecine un module de six mois visant à soigner des patients se disant p...
Stop à l’Islamophobie ! Par Dr Khalil Elahee depuis l'Ile Maurice Dans une certaine presse en France, la couverture des élections à Maurice est effrayante. Plus ...
Comprenez votre inconscient et libérez vous #psychologie #inconscient #psychisme #fannybauermotti L’inconscient est cette de notre psychisme qui nous revient par les rêves, les laps...
« Réfugié » ou tous les autres mots… #LePouvoirDesMots Les mots ont une force, un pouvoir. Il y a des mots qui condamnent et d’autres qui protègent. Des mots qui permettent ...
A few words from a sad heart ... By Maryam Ramadan. When I heard the news about the death of Egypt's former President Mohamed Morsi, I broke out in a cold sweat.
Détention : " J’ai assisté à des scènes hallucinantes"“J’ai été incarcéré pendant cinq ans à la maison d’arrêt de Bourges, Fleury-Mérogis, et Orléans. Il y a deux poids deux mesures dans la j Après, je mettrais pas tous les matons dans le même sac, parce que il y a des matons, ils sont géniaux ils font leur métier dans le respect. Point barre . J’ai assisté à des scènes hallucinantes, des matons qui montaient la tête des détenus les uns contre les autres, ça les amusait. Une fois un maton a dit à un détenu : “Tu sais, la