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Ian Hamel, manipulation et dissimulation : son rôle trouble dans le dossier Tariq Ramadan



Après Caroline Fourest et Jean-Claude Elfassi, c’est autour de Ian Hamel d’être pris dans l’étau. En effet, les différentes investigations convergent : Ian Hamel aurait menti pour « détruire » Tariq Ramadan.


L’affaire Tariq Ramadan réserve de curieuses surprises et les prochains mois vont apporter leur lot de révélations de premier plan. L’implication de Caroline Fourest et de Jean-Claude Elfassi est désormais connue et confirmée par de nombreuses preuves et documents (emails, posts sur les réseaux sociaux, déclarations des plaignantes elles-mêmes, …). Voilà que de nouvelles découvertes impliquent de façon directe le journaliste retraité Ian Hamel qui est « obsédé » par Tariq Ramadan depuis plus de 15 ans.

Ian Hamel, une obsession pathologique

En février 2007, il écrit un email à Tariq Ramadan dans lequel il menace de le « buter ». Depuis cette date, Ian Hamel semble vouer une haine presque pathologique comme l’indique une source proche du retraité : « Il cherche par tous les moyens y compris le mensonge et la manipulation à faire tomber Tariq Ramadan ». La découverte récente de blogs anciens, que certains protagonistes du dossier avaient tenté de faire disparaitre, et les messages qui y sont postés, sont une source d’informations capitales dans ce dossier.

En 2008, la plaignante suisse « Brigitte » affirme être en contact avec Ian Hamel et Jean-Claude Elfassi, comme d’ailleurs « Christelle », quelques mois plus tard, selon des éléments du dossier. Selon les plaignantes, il interviendrait sous pseudonyme dans certains blogs pour salir la réputation de Tariq Ramadan.


Les découvertes récentes d’anciens blogs, confirment que Ian Hamel, en 2009, est spécifiquement identifié par l’administrateur d’un blog en Suisse, avec trois pseudonymes différents, dont l’un serait « une ex » ! Son but affiché est de « faire tomber » son obsessionnel ennemi de toujours en répandant la rumeur.

En 2010, il est en contact avec Majda Bernoussi et lui propose de l’aider à publier son livre et à rendre public son récit visant à salir Tariq Ramadan. Il lui suggère de parler de religion et même de mentir en affirmant « qu’il (Tariq Ramadan) ne prie pas », dans le but affiché de le couper de son public musulman.


« Ian Hamel a un vrai problème de rivalité avec les hommes. Il s’est toujours senti en échec et depuis sa retraite cela empire, il est capable de tout pour détruire. » confirme notre source proche du journaliste retraité.




Mensonges volontaires et dissimulation de preuve à décharge

Il n’est donc clairement pas question de violence, ni de viol et l’objectif est toujours le même : salir une réputation et briser un homme. Ian Hamel n’est ni journaliste, ni un informateur, il ment délibérément et apparait dans le dossier Tariq Ramadan, entre autres, comme un instigateur. Aujourd’hui, toujours emprisonné dans son obsession pathologique, c’est lui qui tient et contrôle les deux pages Wikipédia sur « Tariq Ramadan » en français, ainsi que sur « l’affaire Ramadan ». Ici encore, en sélectionnant les informations il répand la rumeur sur le professeur d’Oxford mais aussi sa famille.

Il a écrit pas moins de cent articles tendancieux sur l’intellectuel et sa TL sur twitter est composée essentiellement de posts concernant Tariq Ramadan, sa famille, jusqu’à son arrière-grand-père. Certains tweets du septuagénaire sont misogynes et graveleux et visent l'épouse et les filles de l’intellectuel. Il a été récemment reconnu coupable de diffamation, mais relaxé au bénéfice de « la bonne foi ». Dans une autre plainte en cours, il a été mis en examen pour calomnie à Genève et fortement remis en question par le juge à qui il n’a pas su répondre à la simple question de savoir pourquoi il avait menti.

En octobre 2017, c’est encore lui qui, sur Twitter, invite, cinq jours avant la première plainte, des femmes à dénoncer « le prédicateur ».


Il a pris contact avec Majda Bernoussi, selon cette dernière, pour la pousser à témoigner contre Tariq Ramadan. Il est en contact avec les deux plaignantes, « Christelle » et « Brigitte , avec lesquelles il échange depuis 2009 sur les blogs et en privé. Aurait-il été informé d’un viol (qu’il n’aurait pas dénoncé, ce qui est étrange connaissant la haine qui l’anime), ou sait-il que toute cette affaire est un montage destiné à réaliser son but avoué : détruire Tariq Ramadan ?

Voilà que très récemment la quatrième plaignante, « Elvira », publie sur Twitter les échanges qu’elle a eus en janvier 2020 avec Ian Hamel. Il y est question d’un rendez-vous mais surtout de la proposition du journaliste de l’aider, en s’appuyant sur l’envergure médiatique du magazine Le Point, à rendre sa plainte crédible. Il y dit une fois de plus son envie de « détruire » l’intellectuel et affirme qu’il ne se « relèvera » pas.




On a su depuis que cette plainte était sans fondement. A l’heure où nous écrivons ces lignes, la quatrième plaignante – Elvira- a dénoncé courageusement sur Twitter, comme Mounia Rabbouj courant 2018, que Tariq Ramadan serait victime d’un complot. Si, pour l’instant, aucun media ne relaie l’information, les éléments prouvant le complot révélé par Elvira semblent avoir inquiété. « Elvira » a publié un message privé de Bernadette Sauvaget qui lui conseille de se taire, comme pour sauver ce qui reste de ce naufrage judiciaire. A quelle déontologie journalistique a-t-on affaire ?



Ian Hamel a participé à ce montage dans le but de détruire Tariq Ramadan

Il est curieux de voir le magazine Le Point continuer à donner une tribune et un semblant de crédibilité à un homme qui semble expert en fake news, en aucun cas intéressé par la vérité et sa manifestation. Dans ce dossier, il est en lien avec des témoins et des plaignantes et les poussent à agir. La preuve est aujourd’hui faite concernant ses multiples interventions sur des blogs, sous pseudonymes. Tous ces éléments vont être ajoutés au dossier, notamment en lien avec l’affaire suisse. Le journaliste Ian Hamel aura à répondre de certaines de ses activités de l’ombre, comme Caroline Fourest et Jean-Claude Elfassi avec qui il est en contact.

Rappelons qu’il avait écrit un livre très approximatif La vérité sur Tariq Ramadan, en 2007, et qui fut un retentissant échec. Son second ouvrage, Histoire d’une imposture, de 2020 était classé 46000ème vente sur Amazon, les deux premiers jours de sa parution, et a dégringolé ensuite. Un désastre malgré la campagne médiatique dont le journaliste septuagénaire a bénéficié en France, en Belgique et en Suisse. Contrairement aux organes de presse qui continuent à publier ses articles, le public n’est pas dupe et a bien identifié qui était « l’imposture ».


Alexandre David

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