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La quatrième plainte : un simulacre sur fond de collusion



Jean-Claude Elfassi et la quatrième plaignante

La quatrième plainte confirme les collusions. En effet, d’une part les dates données par l’accusatrice ne correspondent pas, et d’autre part l’accusatrice est liée à Jean Claude Elfassi, comme le prouvent des photos d’elle et du paparazzi diffusées sur les réseaux sociaux. Les juges n’ont pourtant toujours pas interrogé ce dernier qui, selon ses propres posts sur la toile, a été en contact direct avec les quatre plaignantes françaises et la plaignante suisse. 


Une quatrième plainte a été déposée en mai 2019 contre Tariq Ramadan par « Elvira », nom d’emprunt d’une femme cinquantenaire, originaire du sud de la France. Or, les dates qu’elle mentionne rendent ses accusations impossibles : Tariq Ramadan n’était ni en France ni à Lyon à la date indiquée, ni la veille, ni le lendemain, comme l’attestent les preuves de son emploi du temps versées au dossier.


Instabilité ou collusion ?


La femme qui l’accuse serait « instable », nous apprend Bernadette Sauvaget dans son dernier ouvrage. Il ne s’agirait pourtant pas que de fausses accusations sur fond de troubles psychiques. 


La plaignante ne semble pas agir sous la seule impulsion d’un psychisme peu équilibré. En effet, « Elvira » ne sort pas de nulle part. Il y a deux ans, elle  avait diffusé des photos d’elle et de Jean Claude Elfassi sur les réseaux sociaux. Elle le présentait comme son  «grand ami».

Le paparazzi, cité de nombreuses fois dans le dossier Tariq Ramadan, pourrait donc, tout comme dans l’affaire Jerem Star, avoir participé à l’élaboration mensongère de certaines plaintes comme l’en a accusé publiquement Mme Mounia Rabbouj sur les réseaux sociaux. Il est déjà sous le coup de trois plaintes dans l’affaire de l’islamologue. Diffamation, harcèlements et violences, telles sont les accusations portées contre lui par des témoins de la défense qu’il a tenté d’intimider. 


Qui manipule qui ? 


Cette quatrième plainte ne fait que confirmer que derrière ces accusations, il y a des acteurs, opposants notoires de Tariq Ramadan, qui (comme le confirme le JDD du dimanche 8 décembre à travers les dires de la plaignante suisse) n’ont qu’un but : « Faire condamner Tariq Ramadan », alors même que l’enquête atteste de son innocence. La plaignante suisse aurait reçu un texto d’un avocat français lié à l’affaire qui reproche à la France de bloquer les auditions suisses afin « d’être les premiers à le condamner. Ils ont peur d’être doublés. » souligne cet étrange avocat. Il pourrait d’ailleurs s’agir de Me Eric Morain, l’avocat de Christelle, qui avait affirmé s’être rendu en Suisse dans le cadre de l’affaire Tariq Ramadan. Cette information fait mal à la France qui a déjà été fortement critiquée ces dernières années à cause de son système judiciaire trop influencé par le pouvoir politique.


Les dates choisies par cette quatrième plaignante ne tiennent pas du hasard. En effet, Tariq Ramadan devait effectivement être en France ce jour-là. Un post annonçant sa présence se trouve encore en ligne. Malheureusement pour les organisateurs de cette mise en scène de viol et de cette plainte mensongère, il avait annulé sa présence quelques semaines plus tôt pour se rendre à Baltimore et avait fait parvenir aux organisateurs de l’événement français une simple vidéo. 

Rappelons que Mme Henda Ayari avait procédé de la même façon en cherchant sur le net des dates où Tariq Ramadan était présent à Paris en mars et avril 2012. Elle avait dû se rétracter par la suite, en changeant de date à deux reprises, car ses déclarations étaient contredites par des preuves versées au dossier et notamment sa présence au mariage de son frère le jour de son supposé viol. 


Aujourd’hui, la partie civile transforme le dossier et parle désormais de « l’emprise ». Comment pourra-t-elle justifier les mensonges, les liens entre les plaignantes et les récits où elles parlent de piéger Tariq Ramadan, pour certaines avant même de l’avoir rencontré ? Comme dans l’affaire Caubère, il est important de rappeler qu’un possible ascendant intellectuel n’est pas une « emprise » dans une relation entre adultes et que les fausses accusations de viols ne peuvent se justifier par une instrumentalisation de concept psychologique . N’en déplaise à ceux qui oublient que, derrière l’idéologie qu’ils semblent combattre aux dépens de la vérité, il y a un homme, et son innocence prouvée par deux ans d’enquête.


Constance Agostino

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